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18 février 2020 2 18 /02 /février /2020 10:45

La Parole de la France ?

L’Honneur du Soldat

Les Héritages

Guerre d’Indochine (1945-1954)

Guerre d’Algérie (1954- 1962)

 

 

Analyses, extraits de textes et commentaires

 

Le devoir d’obéissance ou les cas de conscience des officiers

 

Avec la question que pose le Président lors de son déplacement à Jérusalem et les comptes rendus des 23,24,25 janvier 2020 :

Nos camarades morts, officiers, sous-officiers, et soldats, sont-ils « MORTS POUR LA FRANCE » ?

?

 

1-

Introduction et prologue, avec le témoignage d’Hélie de Saint Marc

« Honneur perdu et parole trahie »

La clé ?

« Les événements ont marché » ?

  Une expression d’André Lebon (1896-1898), ministre des Colonies !!!

         J’ouvrirai ma réflexion sur ce sujet historique tragique en indiquant que mes deux dernières lectures furent consacrées au témoignage d’Hélie de Saint Marc dans « Mémoires-Les champs de braise », et au livre du petit-fils du général Crépin « La nostalgie de l’honneur » ;

            Il se trouve que j’ai évoqué dans un livre de souvenirs de la guerre d’Algérie l’Inspection que fit alors le général Crépin, Commandant en Chef, dans mon secteur militaire de la vallée de la Soummam en juillet 1960. Le   25 janvier 1960, il avait remplacé le général Massu, autre général gaulliste, avant qu’il ne soit remplacé lui-même, le 1er février 1961, par un autre général gaulliste, le général Gambiez, dont je fis plus tard la connaissance.

            Je reviendrai dans ma conclusion sur le deuxième livre qui propose une ou plusieurs explications du sens de l’honneur qui fait vivre et- combattre un soldat, le devoir d’obéissance, le droit de donner la mort.

        Lors de mon séjour en Algérie, en juillet 1960, j’avais entendu les témoignages des officiers du 28ème Bataillon de Chasseurs Alpins qui avaient assisté au briefing du général Crépin lors de sa tournée d’Inspection au PC 1621 de l’Opération Jumelles, des propos qui les encourageaient à continuer le combat.

            Le témoignage d’Hélie de Saint Marc me fit revivre, avec beaucoup d’émotion, les rêves de ma jeunesse et mes propres expériences « coloniales », notamment celle de la guerre d’Algérie.

            Je me rappelais entre autres les débuts de l’opération Jumelles, en Petite Kabylie, un beau soir de juillet 1959, avec le passage des premières escouades de Parachutistes et de Légionnaires de la 10ème Division Aéroportée, qui montaient vers la forêt d’Akfadou et le massif du Djurdjura pour rejoindre le PC Artois 1621 sur les sommets qui dominaient la SAS. Le colonel Hélie de Saint Marc, dont j’ignorais bien sûr l’existence, faisait partie de cette Division qui mena à bien cette grande opération.

            Dans la Nouvelle publiée dans un livre sur la Guerre d’Algérie intitulée « LE VIDE PRESQUE PARFAIT » d’après Lao Tseu, je décrivais les tout débuts de cette grande opération. Ci-après un extrait :

         « … Un bruit courait dans les popotes du secteur militaire de Sidi Aïch depuis plusieurs semaines ; on ne parlait plus que de ça, un autre « ça » freudien ! Le rouleau compresseur de l’armée française allait passer sur la Kabylie, comme il venait de le faire dans l’Ouarsenis.

        La nouvelle était excitante. Elle laissait espérer une fin de la guerre, et un retour non moins rapide des soldats du contingent en métropole. Personne ici ne souhaitait vraiment s’attarder en Algérie.

        La rumeur enflait de jour en jour. La France s’était enfin décidée à employer les grands moyens. Elle avait mis sur pied une troupe de choc pour démolir les katibas qui faisaient encore la loi dans les grands djebels d’Algérie et soutenaient l’organisation politico-administrative de l’ALN dans les villages, celle de ceux que nous appelions les terroristes.

       Le 22 juillet, au cours d’une belle nuit de l’été 1959, l’opération démarra en petite Kabylie.

         La nuit était tombée depuis une heure environ, quand le lieutenant Marçot entendit le bruit d’un convoi monter vers le douar des Béni-Oughlis. Il empruntait une route qu’il connaissait dans le détail de ses épingles à cheveu et de ses moindres virages entre Sidi Aïch et Aît Chemini. Une compagnie de chasseurs alpins y tenait le poste et contrôlait les villages parsemés sur les tout premiers escarpements du massif du Djurdjura, le long de la vallée de la Soummam.

        La chaine du Djurdjura avait une allure impressionnante. Beaucoup de ses sommets dépassaient les deux mille mètres, et la neige les recouvrait le plus souvent en hiver. Jusqu’à aujourd’hui, elle était restée le sanctuaire naturel et inexpugnable des bandes rebelles.

         Le convoi venait de franchir la crête.  Il le savait uniquement au bruit, mais chose tout à fait nouvelle, il apercevait les premiers véhicules tous phares allumés. Les camions militaires roulaient comme en plein jour et formaient un cordon lumineux interminable.

Il n’avait jamais assisté à un tel spectacle. La nuit tombée, on n’osait pas défier les rebelles. Un spectacle incroyable !

      La nuit était douce et le ciel étoilé. Le convoi passa au poste de Chemini, sans s’arrêter. Les paras et les légionnaires allaient rejoindre leur position de départ à la lisière de la forêt d’Akfadou qui se trouvait à une dizaine de kilomètres.

      Le grand cirque allait démarrer, et le rouleau compresseur tant attendu, tout écraser chez les fels.

      Au début de l’année 1959, l’Armée de Libération Nationale était encore puissante en Algérie, alors que les frontières marocaines et tunisiennes avaient pourtant été verrouillées de façon efficace par d’impressionnants barrages militaires.

       L’armée française était empêtrée dans son dispositif de quadrillage…

        En Kabylie et en Petite Kabylie, onze secteurs militaires étaient concernés par l’opération « Jumelles », dans un vaste périmètre militaire allant de Tizi Ouzou à Lafayette et à Bougie …

        Les seigneurs de la guerre avaient fait irruption dans son douar. Ils venaient d’une autre planète.

       Un matin, à la popote militaire du PC des Chasseurs à Chemini, il se trouva nez à nez avec des lieutenants et des capitaines paras, très jeunes, de son âge ; leur essaim voltigeait et bourdonnait autour de leur colonel. Des casquettes à la Bigeard, tenues camouflées, corps musclés, teints bronzés, bottines astiquées, ils faisaient une dernière halte, pendant quelques minutes, au dernier poste militaire, sur la route de l’Akfadou.

        Ils entouraient leur colonel, papillonnaient comme des gamins autour de leur instituteur, le dévoraient du regard, l’adoraient manifestement comme un nouveau dieu. Ils étaient d’une autre race, et en faisaient parade.

     A côté d’eux, quelques Chasseurs Alpins du contingent ressemblaient à des manants mal fagotés.

       Les seigneurs de la guerre et les esclaves… » (p, 121,127)

         Au fur et à mesure des années qui ont suivi le choix que j’avais fait d’aller en Afrique, pour servir ce que je croyais être la France,  la France d’Outre-Mer, avoir eu l’expérience concrète de la fin de la colonisation française, mais surtout après avoir été confronté à la violence de la guerre d’Algérie, j’ai mis une croix sur ce que je croyais être ma vocation.

            Une fois à la retraite et disposant du temps nécessaire pour lire des articles ou des livres parus après la période coloniale, dans l’explosion de toute une littérature postcoloniale de désinformation, plus mémorielle, ou idéologique, qu’historique, je me suis lancé dans des recherches historiques afin de comprendre le processus décisionnel des conquêtes coloniales, en même temps que j’ai passé au peigne fin le discours de désinformation « historique » que le collectif Blanchard, entre autres, développait, au fur et à mesure de ses publications sur les cultures coloniales ou impériales de notre pays.

            Au cœur de mes recherches et réflexions, j’ai toujours eu beaucoup de peine à comprendre pourquoi la France s’était lancée dans les conquêtes coloniales, alors que le peuple français n’avait jamais été piqué par le virus colonial du business, comme les anglais, ne s’était jamais véritablement intéressé à ce qui se passait outre-mer, sauf quand il s’est agi de faire appel aux ressources de ces territoires au cours des deux guerres mondiales.

            Pour avoir été acteur et témoin de la tragédie algérienne, tenté de comprendre les raisons de la colonisation française, de ses succès ou de ses échecs, je n’ai toujours pas compris les raisons de nos débâcles, politique et militaire en Indochine, et politique, en Algérie, sauf à dire que notre pays n’a jamais eu de politique coloniale, sauf à mélanger tous les genres, en laissant faire les multiples groupes de pression économiques, politiques, religieux, chrétiens, francs-maçons,  ou encore militaires, avec la Marine notamment …

            Je répète qu’à mes yeux, avec l’ensemble de mes recherches et réflexions sur le sujet, la France n’a jamais été une France coloniale, et qu’elle a toujours laissé faire ces groupes de pression, sous les prétextes de puissance, de gloire, et de grandeur.

            De nos jours, nos gouvernements usent des mêmes arguments pour prendre les initiatives politiques et militaires les plus risquées, voir la Libye ou le Sahel, et qui plus est avec la modification de la Constitution en 2008 qui donne tout pouvoir de faire la guerre à nos Présidents de la République : le Parlement a le droit de voter guerre ou paix, trois mois plus tard…

            Lors  de mon service militaire en Algérie, j’ai côtoyé et apprécié de nombreux officiers, sous-officiers ou soldats, survivants de la guerre d’Indochine, des hommes que la France engageait de nouveau dans le conflit algérien, sans que les gouvernements de la Quatrième République soient mieux inspirés pour conduire ce pays à l’indépendance, plutôt avec nous que contre nous, comme ce fut le cas en Indochine.

            La plupart de ces capitaines, commandants, ou colonels (survivants) avaient déjà effectué un ou plusieurs séjours en Indochine. Ils avaient compris la nouvelle stratégie de guerre populaire qu’il convenait de mettre en œuvre dans ce type de guerre, alors que les objectifs des gouvernements n’étaient guère plus clairs qu’en Indochine.

            Le résultat ?

            En 1961, la révolte des officiers qui avaient gagné la partie sur le terrain, et qui n’acceptaient pas que le pouvoir politique trahisse une fois de plus la parole donnée.

Avant-propos

Pourquoi ces témoignages et ces réflexions sur notre passé colonial ?

            Comprendre et tenter d’expliquer à travers la guerre d’Indochine l’engrenage d’une décolonisation violente  qui s’est poursuivie en Algérie, les héritages, souvent avec les mêmes acteurs et dans le même état d’esprit d’aveuglement quant à l’évolution du monde et les moyens de la France, subir au lieu d’agir, au rythme chaotique inscrit dans une des sentences ministérielles de la Troisième République : « Les événements ont marché. » (Signé Lebon) l’une des phrases de la continuité de la bêtise politique.

       Deux autres sortes de raisons, l’une, familiale, avec le souvenir de mon frère ainé qui, après la Résistance, s’était engagé à la Libération dans le corps expéditionnaire destiné à débarquer au Japon, lequel fut détourné finalement vers l’Indochine à la suite de la défaite du Japon (Cochinchine (5/11/1945-9/5/46), et Tonkin (9/5/46-4/5/1947), l’autre mon expérience personnelle de la guerre d’Algérie.

            A peine débarqué à Alger et dans le djebel kabyle, il ne fallait pas longtemps pour rencontrer des officiers et sous-officiers qui avaient fait la guerre d’Indochine, souvent d’ailleurs des types de qualité, des hommes que cette guerre perdue avait marqués.

            Il est en effet difficile de tenter de comprendre la guerre d’Algérie sans tenter de comprendre la guerre d’Indochine, son héritage, et de replacer ce type de problématique de guerre dans le cadre de la conception que la France « officielle » avait de la politique coloniale, pour autant qu’elle ait jamais existé tout au long des Troisième et Quatrième République.

            J’utilise souvent l’expression de France « officielle », car je pense que l’outre-mer n’a jamais été une préoccupation populaire, et que sauf exception, comme ce fut le cas pour l’Algérie, les gouvernements ont toujours bénéficié d’un laissez faire, fût-il nimbé de grandeur ou de gloire.

       Le grand journaliste Robert Guillain a usé de la même formule.

            Les deux conflits se déroulèrent selon un calendrier comparable, le deuxième succédant au premier, 1945-1954 pour l’Indochine, et 1954-1962, pour l’Algérie, soit une durée plus courte que celle du premier conflit.

            Il convient de noter toutefois qu’en 1945, l’Indochine sortait d’une période très troublée, violente, liée à l’occupation japonaise, un Japon qui avait su bien manœuvrer en jouant la carte d’une administration coloniale située dans la mouvance « officielle » de Vichy et de Pétain, et dans le contexte d’une deuxième guerre mondiale qui avait failli faire disparaître la France.

         Il est difficile de résumer brièvement la guerre d’Indochine, mais nous nous risquerons à le faire, avec le concours des nombreuses sources consultées, afin de mieux comprendre les enjeux de cette guerre coloniale qui causa beaucoup de morts à la fois dans les deux camps, et dans la population civile.

            Nous proposerons donc une analyse à multiples facettes, en n’hésitant pas, pour ce faire, à multiplier la publication de nombreux extraits des sources consultées.

            A lire l’ensemble de ces récits, il est vrai longtemps après les faits, le lecteur en ressent l’impression que les gouvernements de la France vivaient sur une autre planète, ou continuaient aveuglément à gouverner comme si le monde n’avait pas complètement changé après la Deuxième guerre mondiale.

            Mon expérience de la guerre d’Algérie et des séjours outre-mer m’en avaient à titre personnel tout à fait convaincu.

        Lyautey considérait à juste titre que l’Indochine était le joyau des colonies françaises, et il avait raison eu égard à sa position géographique dans l’entourage d’une Chine potentiellement riche, de ses propres atouts économiques, de sa population industrieuse, de son passé séculaire, d’une gouvernance impériale et administrative sophistiquée grâce à ses mandarins triés sur le volet universitaire et au service du Fils du Ciel, enfin grâce à sa culture de l’effort collectif…

         Tout a véritablement commencé en Cochinchine, dans les années 1850, lorsqu’un amiral décida - fait accompli - de conquérir ce territoire en venant au secours de missionnaires persécutés, sorte d’alliance sacrée entre le sabre et le goupillon, dans le cas présent, celui d’une marine à la fois sensible à l’évangélisation de l’Asie et à son ambition d’escales à créer.

       Cette alliance entre le sabre et le goupillon exista souvent lors des conquêtes et au cours de la période de colonisation alors que la République se piquait d’être laïque en métropole.

        Tout s’est également terminé avec le Ky de Cochinchine pendant la guerre d’Indochine, la France se réservant le droit de détacher jusqu’au bout et d’une façon ou d’une autre, cette province des deux autres KY du Vietnam, l’Annam et  le Tonkin : ce fut une des causes, avec beaucoup d’autres, de l’absence de solution politique dans la négociation avec le Vietminh.

       J’ai longuement analysé les conditions dans lesquelles les conquêtes coloniales de la France furent effectuées sur les autres continents : l’absence quasi-complète de communications entre le terrain colonial et la métropole, donnait une entière liberté d’action aux exécutants, d’autant plus grande que les décideurs parisiens ignoraient quasiment tout des outre-mer.

       Aveuglement des gouvernements de la Quatrième République face au dossier indochinois, pour aboutir à la catastrophe de Dien Bien Phu en 1954, et même aveuglement de la Quatrième et Cinquième République, avec une sorte de sauve-qui-peut, avec la clôture bâclée de ce dossier, en 1962, par les Accords d’Evian.

       L’Indochine était incontestablement la colonie française la mieux dotée de tout le domaine colonial français, mais la France n’avait jamais réussi à mettre en œuvre un modèle de gestion indirecte de type anglais, et avait fait face à plusieurs crises de type nationaliste, quasiment dès la période de la conquête.

        La guerre d’Indochine s’est traduite par la perte chaque année d’une promotion d’officiers de Saint Cyr,  les plus connus, parmi les survivants jouèrent un rôle majeur dans la guerre d’Algérie, soit dans la stratégie qui y fut développée (Beaufre toujours, Trinquier…), soit dans les grands commandements de terrain, Leclerc, de Lattre, Salan, Bigeard, ou Crépin....

Le plan de publication:

1 - Introduction et Prologue avec le témoignage d’Hélie de Saint Marc

2 – Les sources

3 -Témoignages d’André Malraux, ancien ministre du général de Gaulle, Maurice Delafosse, africaniste, et de Robert Guillain, grand reporter en Extrême Orient.

4 - Résumé historique de la guerre d’Indochine

5 - Les grandes séquences historiques avec le général Gras et l’historien Hugues Tertrais

6 - Situation coloniale de l’Indochine en 1945

A - Vues de l’étranger avec Henri Kissinger, Graham Green, et Nguyen Khac Vièn

B - Vue de France avec Pierre Brocheux

7 -  Un nouveau type de Guerre ?

8 - Conclusion : avec le colonel Trinquier, le général Gracieux, et le témoignage du petit-fils du général Crépin

.Méthodologie d’écriture :

         Le lecteur voudra bien excuser certaines répétitions dans les analyses et textes publiés dues essentiellement à deux causes, autant que possible le respect des textes cités, et au moins autant une méthode de travail et de publication qui demeure très artisanale.

        Comment ne pas conclure cette introduction par des  extraits du témoignage d’Hélie de Saint Marc, témoin privilégié de la destinée de  ces officiers issus de la Résistance, déportés, puis engagés, dans l’honneur et l’idéal d’un service patriotique, furent plongés dans des guerres coloniales que les gouvernements et les parlements furent incapables de mener dans l’honneur et le respect de la parole donnée, très souvent au péril de leur vie ?

Jean Pierre Renaud         Tous droits réservés

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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